AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Membre de L'ordre
Nevada
https://crazy-stupid-life.forums-actifs.com
Nevada
J'ai posté : 629 hiboux, et me suis inscrit le : 22/04/2012

Ma Carte de Chocogrenouille
épouvantar:
patronus:

Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine Empty
MessageSujet: Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine  Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine Icon_minitimeMer 28 Oct - 14:00
GRACE LYNN JENKINS
feat Annabelle Wallis
Âge 34 ans
Origines sang-mêlé, irlandaise
Maison Ancienne serdaigle
Métier Tireuse d'élite de baguette magique<
Baguette Bois d'Accacia - Épine de monstre du Fleuve Blanc - 25 cm - Flexible
Patronus oiseau chardonneret
épouventard L'alcool, un corps rigide sans vie, qui se trouve être le sien.
Physique

Grâce à une belle chevelure blonde et un visage d’ange. En la regardant, on ne pourrait pas supposer qu’elle ferait de mal à une mouche. Elle a de beaux yeux d’un bleu très clair, qui vire parfois au gris. Il ne s’agit pas d’un bleu comme l’océan mais plutôt d’un ton presque triste, égal à la pluie qui tombe contre les fenêtres, amenant un côté très intriguant dans son regard. Elle a une bouche rose, assez fine.

Grâce n’est pas une jeune fille avec énormément de formes, elle est assez plate, peu de poitrine, très longiligne, elle aime s’habiller avec de longues robes et des vêtements très amples qui casse sa carrure très fine. Grâce possède toutefois une beauté qu'on pourrait qualifier de singulière, bien loin des standard habituelle, elle sait joué de ses charmes et sait mettre ses atout en valeur.
Caractère

Derrière chaque rose se cache des épines, on peut avoir envie de la toucher, de la sentir, il faut pourtant apprendre la patience pour ne pas se faire piquer. Grâce est une jeune femme très douce en apparence. On pourrait la voir très pure, très sainte-nitouche qui serait totalement docile et acquiescerait à tout, mais ce ne serait se fier qu’à une apparence de pureté que lui donne son physique. Elle sait en jouer toutefois, amadouer son monde et ceux qu’elle veut mettre dans sa poche en utilisant son côté très doux. Mais elle est pourtant une femme qui peut se montrer sûre d’elle et qui sait qu’elle ne doit pas se laisser marcher sur les pieds. Elle n’hésitera pas à dire ce qu’elle pense, même si cela doit faire mal, ayant appris que les mots pouvaient avoir un poids plus impactant que les gestes. Grâce est une femme libre qui aime jouer de sa douceur et qui tient particulièrement à sa liberté de choix, autant dans sa manière d’agir que dans sa manière de pensé. Elle aime débattre avec ceux qu’elle considère comme intéressant, trouvant que chez l’autres on peut toujours en apprendre plus que ce qu’il veut bien nous montrer. Oui on peut sans doute dire qu’elle est légèrement manipulatrice, mais c’est dans son métier qu’elle apprit ça. Très intelligente, elle a mit ses capacités au service de son travail et pas de son propre avenir.

Au fond d’elle-même Grâce est une jeune femme douce, très sincère et à l’écoute des autres. Elle a pu se montrer comme une bonne amie, bien qu’elle en ait eu que très peu. Rapidement elle apprit à se créer des barrières, mais quand elle se laisse aller, elle s’amuse beaucoup à sourire et à s’amuser, se préoccupant que très peu des choses autour d’elle. Grâce aime danser, elle aime chanter. Elle peut se laisser toucher par les autres si jamais vous arriver à briser sa carapace, mais cela reste très rare, elle ne montrera que ce qu’elle veut montrer pour l’instant.  
Pseudo Nev' (Endy & toute la clique)
Âge 25 ans
Avatar Annabelle Wallis
Avis Qu'il est beau ! Longue vie à Impé !
Notes il faut inscrire ici les notes aux examens de votre personnage et également inscrire le niveau de ce dernier dans chacune des matières. (rappel des notes (de la plus élevée à la moins élevée) Optimal (O), Effort Exceptionnel (EE), Acceptable (A), Désolant (D), Piètre (P), Troll (T).
N'hésitez pas à contacter l'un des membres du staff si nécessaire (et en cas de question)


Dernière édition par Nevada le Lun 25 Jan - 19:03, édité 6 fois
Revenir en haut Aller en bas
Membre de L'ordre
Nevada
https://crazy-stupid-life.forums-actifs.com
Nevada
J'ai posté : 629 hiboux, et me suis inscrit le : 22/04/2012

Ma Carte de Chocogrenouille
épouvantar:
patronus:

Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine Empty
MessageSujet: Re: Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine  Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine Icon_minitimeMer 28 Oct - 14:01
Mon histoire
Petite citation mignonne
Il était une fois

Grace naquit un jour de mars, entre l’hiver et le printemps, de l’année 1987. Ses parents, tous deux sorciers, se réjouissait de la venue de cette petite bouille qu’elle était. Son avenir semblait prometteur alors que les premiers rayons du printemps tombait sur la nouvelle venue. Baigné dans une famille aimante, dans un foyer douillet, les bonnes étoiles semblaient s’être penché sur son berceau à sa naissance. Elle n’avait pas de frère ni de sœur, étant une fille unique, une fille attendue par ses parents qui désespérait depuis un bon moment d’avoir un enfant. Sa mère avait eu énormément de difficulté à enfanté et de fausses couches avaient amener le couple à déprimer de plus en plus sur la potentielle venue d’un être qui viendrait couronner leur amour. La petite famille était originaire d’Irlande, et habitèrent dans une charmante bourgade non loin de la capitale. La mère de Grâce ne travaillait pas, mais le père travaillait au ministère de la magie anglais, au service de la justice magique. Ce n’était pas évident pour lui qui devait de nombreuses fois rester dormir sur place loin de sa famille pour le travail. Grace grandit entouré par sa mère qui la chérissait plus que tout au monde. Elle courrait dans les plaines de la charmante île où elle vivait, d’un vert pur et qui fleurissait à chaque printemps. Tous dans le village l’appréciait pour sa politesse et pour sa joie de vivre, sa douceur et sa volonté d’aider du mieux qu’elle pouvait. On disait que l’enfant semblait aussi pure que la neige en hiver et aussi délicate qu’une rose fleurissant au printemps.

Lorsqu’elle atteignit l’âge de cinq ans, ses parents prirent la décision de déménager à Londres pour le travail de son père. Depuis quelques temps déjà des disputes se faisaient entendre dans la maison, sa mère pleurant de ne pas voir suffisamment son mari. Ce n’était pas surprenant, de plus en plus il passait du temps à Londres pour les affaires. Grâce quitta alors les plaines pour se rendre dans la capitale anglaise, pleine de bruits et de son qu’elle ne connaissait que très peu. Une ambiance industrielle, bien différente de celle qu’elle avait connu. Ce changement ne lui apporta pas vraiment le bonheur, troquant une maison pour un petit appartement londonien. Sa mère reprit un travail dans l’une des boutiques du chemin de traverse, inscrivant par la même occasion sa fille à l’école primaire du coin pour qu’elle suive les leçons avec des enfants d’origines moldus. La petite se referma légèrement sur elle-même au début, mais au fur et à mesure, sa pureté et sans doute sa beauté grandissante attira l’œil de bien jeunes garçons de son école. Elle ne voulait pas de ses regards, elle ne les désirait pas et apprit bien vite à les éloigner d’elle. Grâce regrettait le temps où elle vivait dans les collines irlandaises, bien qu’étant encore jeunes, elle ressentait le manque de la nature, comme un mal du pays. Ses parents le remarquaient bien évidemment, mais ne pouvait rien changer à tout cela. A ses 11 ans elle reçue une lettre annonçant son inscription à l’école de sorcellerie Poudlard. Une prestigieuse école par laquelle ses parents étaient également passer autrefois. Une nouvelle aventure qui commençait pour Grace qui pourtant ne semblait pas avoir développer d’atout magique lorsqu’elle était plus jeune. Ou peut-être n’avait-elle pas vu les fleurs fleurirent à son passage lors de ses nombreuses colères envers les jeunes garçons arrogants qui lui parlaient.

Grace avait peur de cette nouvelle aventure, ne sachant pas réellement ce qui l’attendait. Elle se souvenait de ce trajet dans le train, seule dans le wagon, rapidement rejoint par d’autres élèves qui jacassaient à côté d’elle. La jeune enfant regardait sans arrêt par la fenêtre observant les paysages qui défilaient, ravie au fond d’elle de quitter le bruit ambiant de la ville. Poudlard devait être un bel endroit, c’était ce que ses parents lui avaient dit. Au fond elle espérait que leur dispute cesserait même si elle se trouvait loin. Lorsqu’ils avaient déménagé, ses parents s’étaient retrouvés, amoureux comme au premier jour, mais Londres avait fini d’achever cette amour, les amenant disputes sur disputes. Grace pensait qu’ils restaient ensemble uniquement pour elle, se demandant parfois ce qu’elle choisirait s’ils divorçaient. Peut-être était-ce trop pour une enfant de onze ans, mais elle avait appris à prendre sur elle les choses qui la touchaient. On ne lui avait pas mentit : Poudlard était magnifique. Le lac leur offrit un paysage fabuleux sur le château et la petite Grace oublia ses histories parentales pour se concentrer sur cette beauté. Pas de ville, peu de bruit, juste la nature se trouvait autour de son nouveau lieu de vie. Elle ne craignait rien pour sa maison, ne sachant pas où le choixpeau allait l’envoyé quand on appela son nom, l’enfant s’assit sans broncher sur la chaise. Gryffondor, serdaigle, serpentard, poufsouffle, l’objet magique resta quelques instants à sondé son esprit avant de crier « Serdaigle ». La maison des érudits et des curieux, sans savoir pourquoi cette maison l’avait choisit elle se dirigea vers la grande table des bleu et bronze.

Sa scolarité fut sans encombre, après tout Grâce n’était pas réputé pour être une jeune fille qui fasse beaucoup de vague. Très studieuse, elle se montra très rapidement habile à trouver des solutions face à des problèmes que d’autres pensaient insolubles. Elle arriva à trouver sa place malgré ce qu’il se passait au sein de son foyer familial, ses parents toujours se disputant pour des petites broutilles, des petits tracas. Elle essaya de les rendre fier, en obtenant de bonnes notes, jusqu’à l’âge de ses treize ans, où alors que son père disputait sa mère sur la chaleur de son hachis parmentier, Grâce observant par la fenêtre, las d’entendre sans arrêt ses querelles dès qu’elle rentrait prononça les mots suivants : « Vous devriez divorcer. » Il n’y avait plus d’amour au sein de ce foyer qui avait été le leur, et pourtant elle savait qu’il y avait encore une certaine affection entre ses parents. Surprit ses parents ne prononcèrent pas un mot du repas, lui annonçant le lendemain soir, alors qu’elle s’apprêtait à retourner à Poudlard, que les choses changeraient quand elle reviendrait. Il allait changer. Elle prit la décision lors de sa quatrième année d’aménager avec sa mère, son père habitant cependant pas très loin, et elle le voyait souvent. L’appartement où vivait sa mère n’était pas le plus propre, ni le plus grand, assez de quoi loger une mère et sa jeune fille. Grâce grandissait, baignant dans une ambiance plus propice à une adolescente, aidant sa mère dans son travail, voyant son père, elle devenait de plus en plus belle de jour en jour. Tel une rose, en grandissant elle semblait éclore petit à petit.

Elle passa ses buses et ses aspics avec une certaine facilité, se montrant très douée et habile dans l’art des sortilèges, autant de défense, d’attaque ou simplement d’utilité commune. Elle ne ratait rien ou presque rien, arrivait parfaitement à maitriser les métamorphoses et avait réussi à développer un certain don pour les potions, bien que ce ne fut jamais réellement sa matière de prédilection. Ce qui concernait un potentiel seigneur des ténèbres ne la touchait guère, n’ayant pas connu cette époque, ou que très peu avant de rentrer à Poudlard. Même si son père avait sans doute les moyens de lui payer ses études, ou un minimum, grâce à ses notes elle obtint une bourse. Grâce n’avait jamais vraiment réfléchi à ce qu’elle voulait faire plus tard, n’ayant pour objectif que de réussir à Poudlard jusqu’alors, elle se souvint alors d’une conversation entendue avec membre du département de la justice magique. Tireur d’élite de baguette magique, souplesse, légèreté, ils ne chassaient que les criminels et ne s’occupaient pas des mages noirs. Elle pourrait sans doute y postuler. Elle utilisa alors sa bourse pour ses études dans la justice magique, aider de son père qui n’ayant jamais été réellement là pour sa fille ses dernière année, profita que Grâce suive le même chemin que lui.

La jeune femme se montra très douée, alternant entre ses cours et un petit boulot de serveuse dans une auberge moldu pour aider sa mère qui avait sombré lentement dans l’alcool. Grâce n’y avait jamais fait attention, mais lorsqu’elle s’en était rendu, elle n’avait rien pu faire. Sa mère avait sans doute mal vécu le divorce et en discutant avec son père, Grâce s’était rendu compte que c’était l’une des raisons qui avaient poussé ce dernier à retarder l’inévitable. Madame Jenkins, autrefois douce était devenue l’ombre d’elle-même, prisonnière de vice dont Grâce ne pouvait l’en sortir. Ce ne fut que quelques années après que ses études commencèrent que la jeune femme retrouva le corps de celle qui l’avait mis au monde dans leur appartement miteux de Londres. Son père proposa de l’accueillir chez lui, mais Grâce refusa profitant de son petit salaire pour louer une chambre dans les combles d’un immeuble. Concentré sur ses études, la mort de sa génitrice donna un sacré coup de fouet à Grâce, dans un sens autant positif que négatif, se sentant à la fois libre et triste de cette perte. Elle réussit le concours de Tireur d’Elite haut la main, bien qu’avec quelques difficultés et jalousie de la part de ses camarades, elle obtint son diplôme et commença à travailler sur diverses petites affaires. Il ne s’agissait pas uniquement d’être habile magiquement, mais également de pouvoir trouver des sources, des informations, d’enquêter sur le terrain et dans un bureau afin de dénicher les criminels.

Grâce était devenue très douée pour séduire, se fondre dans les complots de divers criminels, informatrices pour le ministère de la justice, jouant parfaitement son rôle de couverture. Elle avait déménagé dans un appartement plus grand, avec une belle vue sur la Tamise – bien qu’assez loin – buvant un thé en observant la vue et regardait maintenant les nouveaux dossiers d’enquête qu’on lui proposait. Un seul l’intéressait et pas des moindres. Un seul qui pourrait sans doute déboucher sur quelque chose de bien plus gros qu’elle ne l’aurait pensé. Le cas Thomas Selwyn.


Revenir en haut Aller en bas
 
Grace Jenkins - Une rose pleine d'épine
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Crazy stupid Life : nevada Graphisme :: Administration :: Présentation faites-
Sauter vers: