Piste contexte

XXX (parce que faudra trouver un nom à la ville) avait toujours été une ville grandiose. Peintes maintes et maintes fois sur des tableaux, des gens du monde entier se pressait souvent à ses portes de part leur nombreuses manifestations, à moins que ce ne soit pour voir la grandeur de la ville. Des éclats blancs se reflétaient sur les tours d'ivoires, les bâtiments baignant dans le soleil étrange qui ne semblait jamais perdre de son intensité que ce soit l'hiver ou l'été. Quand bien même un peu de neige tomberait sur les toits, on pouvait y voir une incroyable beauté s'y dessiner. Dans les ruelles dégagés, on pouvait apercevoir des gens de toute sortes, certains vêtus des tenues de militaires qui garantissait la sécurité de voyageurs, des marchands dont les vêtements étaient flamboyants, des passants aux allures plus modestes et pourtant toujours bien mis sur eux. Nul n'avait à se plaindre à XXX, après tout la vie rayonnait, le commerce était fleurissant et le conseil régnait avec à cœur les intérêts de la cité. Composé de 5 membres de clans prestigieux, ils écoutaient toujours attentivement la moindre plaintes portés à leur encontre, bien que spécialiste de leur domaine (transport, faune et flore, sécurité, innovation, magie) prenant leur décisions avec beaucoup de justice.

Le conseil semblait aovir toujours eu les pouvoirs en main, décisionnaire du bon fonctionnement de la cité, mais n'importe quel étranger connaissait l'existence du Président. Invisible, on affirmait depuis des générations qu'il ne se présenterait aux yeux du monde uniquement que si le monde était en danger. Les rumeurs allaient bon train, prétendant parfois que c'était poru éviter de montrer sa laideur, ou au contraire sa beauté renversante. D'autres affirmaient qu'il avait peur de la foule, et certains se plaisaient à penser que ce n'était rien d'autre qu'un gamin à qui on refusé ses responsabilités. Tant de mystère entourait cet être, respecté pourtant.

Et puis il y avait la ville d'en bas. Celle dont les touristes préféraient s'éloigner de manière générale, bien qu'accaparé parfois par quelques meneuses de revues à venir flâner dans les maisons closes qui bordait un canal. Ceux d'en haut ne s'en préoccupaient pas plus que ça, le conseil tentait tant bien que mal de gérer leurs affaire, mais tout ceux d'en bas savaient bien que s'ils voulaient des réponses, une forme de justice, seuls les gangs qui sévissaient pouvaient leur offrir une forme de salut.

Si en haut, ils avaient développer leur magie, en usant pour régner, ceux d'en bas avaient pris le partis de modifier leur technologie, à coup de boulot, de mixture pour le moins étrange, leur vie continuait leur cours au creux des voies pourries et odorantes, étroites en comparaison des grandes allées de la haute ville. Ceux qui présentaient des signes de magies pourtant étaient souvent mis à part, pour ceux qui ne se faisaient pas prendre dès leur plus jeunes âge par les forces de l'ordre, envoyé dans les hauteurs, accompagné de leur famille, bien que personne ne put témoigner de ce fait. On leur apprenait la maitrise, on leur apprenait son fonctionnement et surtout leur utilité. Pour ceux qui développaient d'avantage de don, si on pouvait le maitrisé leur vies étaient toute tracés enfermés dans les plus hautes sphères, parfois serviteurs ou adulés. Et pour les autres …

Nombreuses avaient été les guerres entre la haute ville et la basse ville, mais depuis plusieurs décennies pourtant, le calme était revenues. Les rancœurs s'étaient-elles taries ? Pas réellement, au fond l'entente avait été créer, silencieusement, mettant tout le monde au pas, mais la haine est ce qu'elle est : tenace !