AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez
 

 Abigail K. Blackwood ▲ Mordre n'est pas dans mon programme

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Membre de L'ordre
Nevada
https://crazy-stupid-life.forums-actifs.com
Nevada
J'ai posté : 629 hiboux, et me suis inscrit le : 22/04/2012

Ma Carte de Chocogrenouille
épouvantar:
patronus:

Abigail K. Blackwood ▲ Mordre n'est pas dans mon programme Empty
MessageSujet: Abigail K. Blackwood ▲ Mordre n'est pas dans mon programme  Abigail K. Blackwood ▲ Mordre n'est pas dans mon programme Icon_minitimeJeu 13 Juin - 22:04
❝ Abigail Katherine Blackwood ❞
" La vie est trop longue, et des gars comme toi la rallonge... "
par Jack Mosley, 16 Blocks

❝Nous n'avons pas eu l'honneur d'être présentés ❞




Ft.  Kathryn Prescott © image ; nevada
Je me nomme Abigail Katherine Johnson , je suis d'origine Canadienne mais j'ai vécu en Australie et mon retour au froid est très dur pour moi et ma situation financière est moyenne . Voilà 21 ans que je suis venu au monde et je suis célibataire.

Actuellement, vous pouvez me croiser à Yellowknife où je suis serveuse et étudiante en psychologie.

Enfin, concernant les Dragons sachez que J'aime les dragons et je pense qu'ils font partis de l'histoire. Je les trouve fascinant surtout le fait qu'ils aient vécu aussi longtemps et que les légendes soient vraie. Je ne saurais décrire exactement ce que je pense d'eux, mais je considère comme une chance de pouvoir vivre avec eux.

❝ Et si je vous racontais une histoire ? ❞



▬ Avant Ava'Yorn ;
Comme n'importe qui dirons-nous, je suis née il y a une vingtaine déjà. Je pourrais vous dire que j'ai vécu une vie jusqu'à présent sans embrouilles, mais ça ne m'avancerait à rien de mentir. Mes parents ne se sont jamais aimés. Je crois l'avoir toujours su bien avant qu'ils divorcent. Ce n'était que deux jeunes adultes qui s'amusaient un peu comme ils pouvaient, comme de nombreuses personnes à leur époque. Cela aurait été merveilleux si Bonny et moi n'étions pas nées. Je suis la cadette par rapport à ma jumelle. Je ne veux pas vous mentir, nous étions des très beaux bébés et je comprends pourquoi nos parents ont voulu voir s'ils pouvaient tenter le coup. Que ce sont des idiots de nous avoir fait croire que ce serait possible ! Mais je reprends mon histoire.

Bonny et moi étions inséparables. C'est mon double complet et n'importe qui, qui aurait eu le plaisir de nous connaître petites auraient eu l'impression de voir des clones prêtes à faire tout et n'importe quoi. Toujours, toutes les deux. On s'habillait pareil pour embêter notre maitresse, on mangeait notre repas sur une table, l'une en face de l'autre. Nos parents n'étaient pas des riches et c'est plutôt dans un millier modeste que nous sommes nées. Bonny était pour moi bien plus qu'une soeur. Peu nous importait que nous soyons que toutes les deux sans avoir de réel ami. Je me souviens du temps où nous dormions ensemble sous une cabane de draps blanc, accompagné d'une petite veilleuse, et de coussins, nous partagions la même couette pour nous réchauffer. Je garderais sans cesse cette image en tête de deux petites filles, l'une aux cheveux rouges vif et l'autre aux cheveux auburn beaucoup plus vif. Mais tout était trop parfait et allait savoir pourquoi un dieu à voulut nous jouer des tours. Douze ans. C'est l'âge que nous avions quand nos parents ont décidé de rompre leur pseudo amour. Ma mère ne supportait plus le froid qui régnait à Yellowknife et mon père lui ne voulait pas quitter ce lieu. Je ne sais pas pourquoi ils n'ont pas choisi de faire une garde partagée, probablement parce que ne s'étant pas mariés et par stupidité et qu'ils ont choisit de nous séparer toutes les deux Bonny et moi. L'une et l'autre d'un bord du globe sans seul moyen de communication qu'un téléphone qui ne pouvait pas fonctionner à cause d'un décalage horaire. Et des lettres ou des mails perdus qui n'avaient jamais de réponses. Parfois si cela arrivait, mais tellement rare. Abandon.

Ma vie en Australie, à Sidney a été pour moi une réelle aventure, car je me devais d'apprendre à vivre sans suivre ma soeur. Ma mère, qui plus est, avait rencontré un milliardaire qui lui avait offert une maison énorme où elle passait son temps à bronzer près de la piscine ou alors à coucher avec l'homme à tout faire. Quelle dévergondé ! Je me sentais plus seule que jamais et au collège également. Tout le monde semblait connaître une histoire différente par rapport à moi : une fois mon père avait été avalé par un requin, une autre fois ma mère m'avait eu hors mariage. Toutes les rumeurs étaient bonnes à prendre. Ce n'est qu'au lycée que j'ai commencé à m'ouvrir aux autres et que la communication avec ma soeur se faisait de plus en plus rare. Je faisais de nombreuses fêtes dans ma grande maison ou j'allais boire autour d'un feu de joie, dans le désert. J'ai même appris à faire du surf. Je n'allais pas mentir : j'aimais cette vie, j'aimais le soleil. Je me souviens d'un jour pourtant, alors que mon petit copain de l'époque se trouvait dans ma chambre, attendant qu'on passe à l'acte m'avait demandé qui était cette fille sur la photo sur ma commode. J'avais regardé et les larmes m'étaient montés aux yeux. Il m'avait pris dans ses bras mais j'avais crié qu'il sorte, j'en ai été même arrivé au point de hurler qu'on me violait pour qu'il sorte ensemble. Ma mère était rentrée comme une furie, l'avait chassé. Je m'étais jeté dans ses bras et j'avais pleuré. Nous avions passé toute la nuit à parler et à rire des moments quand Bonnie et moi étions petites. À la suite de cette discussion je lui avais posé une question : une question qui n'était pas vraiment une, mais qui allait changer totalement ma vie ... « Maman ! Je veux rentrer ! ».

▬ Après Ava'Yorn ;

Si je pense bien calculer, cela faisait presque deux ans quand c'est arrivé. Ma mère ne m'avait pas suivi à Yellowknife, ne voulant pas retrouver sa deuxième fille même pour quelque jour et préférait rester à bronzer sous le soleil d'Australie. Mais moi je n'ai pas résisté. Je venais juste de quitter le lycée et c'est donc pendant l'été que j'ai fait mes bagages pour me diriger vers le Canada. Je ne pensais pas qu'il ferai aussi froid. Les retrouvailles avec ma soeur furent chaleureuse et j'avais l'impression de ne l'avoir jamais quitté. J'ai beaucoup pleuré dans ses bras. Je ne sais pas si elle aussi était aussi ému, mais cette situation a rapidement changé . Je suis allée voir mon père et l'ai trouvé dans un état totalement minable. Je n'osais pas le regarder en face. N'ayant pas de logement, Bonny me proposa de rester « à la maison » comme elle disait. Rapidement cependant j'ai vu que ma soeur m'en voulait d'être partis. Je ne pouvais supporter ces regards qu'elle me lançait parfois et les bouteilles d'alcool qui jonchaient le sol du salon. Je n'avais pas été habitué à vivre dans ses conditions. Ma soeur, de plus, gâchait son talent en dealant pour se faire un peu d'argent. Alors, j'ai décidé de trouver un appartement en ville et de m'installer. Bien que ma mère me mettait de l'argent sur mon compte régulièrement, j'avais besoin de prendre un petit boulot à côté pour subvenir à nos besoins. Quant à mon père inutile de lui poser la question ! Je l'avais vu assez de fois depuis que j'étais revenue, mais c'était aujourd'hui pour moi un étranger. Ma réaction pourtant était que je ne pouvais pas laisser ma soeur dans un tel état de désolation. Je lui proposais de venir vivre avec moi, ce qu'elle accepta. Elle aussi, avait le droit au bonheur que j'avais connu.

J'ai commencé des études de psychologie, car j'aimais étudier les comportements humains. Beaucoup dirons que la science à réponse à tout, mais la biologie n'est pas la seule science. Je me suis beaucoup attardée sur ce qui liait les jumeaux entre eux puisque j'en avais une. Puis je continuais rapidement vers la psychologie des criminels. J'aimais beaucoup les séries télévisés où ils décrivaient pourquoi les assassins agissaient ainsi. Je me suis d'ailleurs beaucoup énervé sur la télé, ce qui a amusé ma soeur. Ce qui est essentiel pourtant ce n'est pas tant le fait que je vive avec ma soeur, ou que je ne sais que choisir entre psychologue et psychanalyste, surtout le fait de la loi Ava'yorn. Je n'en avais jamais vraiment entendu parler avant de voir un dragon surgir dans le grand hall de l'université. C'était un beau dragon bleu, mais réellement imposant du fait de ses ailes ouvertes. Il semblait totalement désemparé et regardait partout dans l'espoir peut-être de trouver un je-ne-sais-quoi. Soudain il se tourna vers moi et fixa son museau sur moi. Puis il me fit un charmant « Bonjour ! ».  Comme n'importe qui d'autre cela me fit très bizarre, mais je lui ai retourné la formule de politesse. Autant relativisé et sourire. Il a secoué la tête avec joie semblait-il et m'a pris dans ses griffes. Je fus tellement surprise, qu'aucun son ne sortit de ma bouche. Il sortit rapidement du hall et commença à me faire voler. Ha oui je vole ... j'en suis capable ... enfin dans les griffes d'un dragon. Je m'écriais : « Mais repose moi tout de suite par terre ! ». Il m'écouta et me déposa sur l'un des toits de la ville que je reconnu comme celui de la mairie. Il me parla de la loi Ava'Yorn et de qui il était. Il semblait adoré la civilisation humaine et connaissait plus de choses que la plupart des humains. C'était un vrai puits de science. Un dragon ! Un dragon ! Je me dirigeais alors vers lui et caressait ses écailles. Je lui demandais son nom et me dit qu'il n'en avait jamais eu ou alors l'avait oublié. Je réfléchis et sortit un des noms que je trouvais jolie. « Agburanar. » Il hocha la tête avec enthousiasme et faillit m'érafler avec la petite corne sur son museau. D'après la loi d'Ava'yorn je devais annoncer que j'allais vivre avec un dragon. Un dragon ! Oui vous avez bien entendus. Mais après tout, que serait la vie sans un peu de folie.



▬ Et en détails ça dit quoi ?
S'il y a une phrase qui me caractérise c'est bien « Ne te fie pas aux apparences ». Les gens ont trop souvent tendance à ranger les autres selon ce qu'ils portent alors que nos vêtements ne sont pas forcement le reflet de notre personnalité. Moi par exemple si vous m'observez bien physiquement avec mes cheveux auburn et mes vêtements parfaitement accordés et à la mode, vous penserez probablement que je suis une fashion victim qui pense est relativement hypocrite. En fait je suis, direz-vous, le stéréotype de la personne normale ... non je plaisante, car ce n'est absolument pas vrai. Je n'aime vraiment pas me décrire et me mettre en valeur, dire que je suis jolie, intelligente, drôle et tout le reste. En ça vous me direz modeste puisqu'il faut mettre un mot sur mon caractère et il est vrai que je n'aime pas qu'on me fasse des compliments. C'est totalement hypocrite de la part des gens d'en faire d'ailleurs. Oui si vous observez bien les gens vous font des compliments pour en avoir en retour ... n'est-ce pas égoïste ? Bon je vais quand même continuer sur mes qualités et ensuite on passera aux défauts. On va dire que je suis plutôt intelligente, maligne (comme une lapine sors), mais que je n'utilise pas toujours cette qualité. En effet il m'arrive fréquemment de vouloir jouer mon idiote, ou de ne pas parler parce que j'en ai pas envie alors les gens se font une opinion de moi, faussée. J'ai un certain charisme d'après plusieures personnes et j'intrigue assez les autres. J'ai pu remarquer en effet que les gens n'avaient aucune difficulté à venir me parler et que moi-même je pouvais être très ouverte quand je le voulais. Cela me rappelle le nombre de garçon qui m'a dit : « tu m'intrigues ! À quoi penses-tu ? ». Inutile de vous dire qu'ils n'ont pas fait long feu. à dire vrai on m'a déjà traité de ''salope'' sans me connaître seulement parce que je plais aux garçons. Quel stéréotype ! Après mûre réflexion quand vous me connaissez mieux, vous remarquerez que j'ai les pieds sur terre et que je prends rapidement les choses en mains même sous l'emprise de l'alcool. Eh oui comme de nombreuses filles à mon âge j'aime boire et faire la fête. Et bien que boire m'amène dans un autre moi, sachez que je n'ai pas forcement besoin de ça pour être totalement folle. À croire que c'est de famille ce petit grain de folie.

Bien niveau défaut peut-être que parfois je suis trop gentille avec ceux qui ne mérite pas mon attention. La gentillesse peut être un défaut en effet s'il se retourne contre toi et que les gens abusent de toi. Par ailleurs je garde beaucoup de choses pour moi : colère, peine, angoisse etc. Je ne m'ouvre pas facilement sur mes sentiments par rapport aux autres, mais je suis capable de dire ce que je pense d'elle à une connaissance et pas à ma famille ou mes proches amis. Disons que je préfère garder ça pour moi. Mais une Blackwood a parfois des impulsions qu'elle ne peut contrôler. En effet tout ce qui est en moi sort à un moment ou un autre, sous forme de colère et je préviens tout de suite : il vaut mieux être loin de moi lorsque cela arrive. Voilà donc mon caractère.


❝ Regarde ! Il y a un Dragon là ! ❞

Abigail K. Blackwood ▲ Mordre n'est pas dans mon programme Dragon21
 ► Agburanar ▬ Dragon Bleu ▬ Stade II ▬ Mâle
Ce que l'on peut dire sur notre relation c'est que ce n'est pas moi qui l'ai choisi, mais bien lui, parmi tant d'autres. Je n'ai jamais vraiment su pourquoi moi, mais je m'en fiche totalement, car nous avons beaucoup de points communs. Nous aimons étudier le comportement humain. Depuis que je le connais j'apprécie beaucoup de voir ce qui fait que les dragons peuvent autant se lier avec quelqu'un. Ce sont des êtres comme nous et je ne vois pas pourquoi certains pensent qu'ils devraient ne plus exister ou qu'ils s'en servent comme des outils. Quoi qu'il en soit Agburanar est vraiment un dragon fascinant de par sa culture. Parfois son enthousiasme me fait rire notamment lorsque je ne souhaite pas parler, ou que je m'ennuie et que lui se demande comment un humain peut déballer autant de paroles à la minute. Je me rappelle la première fois qu'il est venu dans mon cours de psychologie, il n'a pas fait un bruit et a retenue plus de choses que moi-même, mais le professeur était réellement perturbé d'avoir un dragon de six mètres dans son amphithéâtre, donc il a dû partir ce qui ne l'empêche pas de m'accompagner, de m'aider dans mes études. Je dois quand même avouer que ce dragon est totalement particulier, car il m'incite à être beaucoup plus ouverte avec les autres et à montrer mes sentiments, notamment par le fait de prendre mes amis et ma famille dans mes grif... pardon mes bras.


❝ Et l'acteur, l'actrice dans tout ça ? ❞

► Il/elle a un pseudo ? Nevada, Sweety, Broadway, Un peu de tout en fait
► Il/elle a combien d'hivers ? 17 ... en fait non retenez juste ma date d'anniversaire : 29 juillet !
► Il/elle a connu le forum comment ? par les admins et Weins
► Il/elle a un petit avis sur AY ? JE l'adore
► Il/elle a quelque chose à ajouter ? JE suis toujours là !!


Revenir en haut Aller en bas
 
Abigail K. Blackwood ▲ Mordre n'est pas dans mon programme
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» fiche d'abigail K Blackwood
» Hateya M. Blackwood
» blackwood family
» Celestria I. Blackwood
» Fiche de lien de Celectria Blackwood

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Crazy stupid Life : nevada Graphisme :: Administration :: Présentation faites-
Sauter vers: